8 octobre 2007
Jardin d’Arles (en/à Arles, 6 octobre 2007)
C’est Arles une fin de matinée en octobre. C’est Arles et il fait beau. C’est à Arles, c’est « en » Arles si l’on veut recourir à un provençalisme contesté par les linguistes. « En » Arles sonne mieux à l’oreille, est plus doux à prononcer. « A » Arles serait pourtant plus correct. On parle aussi de l’Arles. Les Japonais diront « Aruru » en ayant soin de rouler les « r » sans les graisser pour autant.
C’est quelque part dans Arles, une fin de matinée qui s’allonge et se prolonge doucement sur le début de l’après-midi. Des ombres. Des ombres doucement dans un jardin de l’Arles. Un jardin en Arles. À gauche, mon amie Martine fume une cigarette. Je m’autoportraitise à Arles à droite.
Publicité
Commentaires
G
Z
P